Synopsis
Zazie, une petite fille de dix ans, débarque à Paris. Sa mère la confie à son oncle Gabriel pour le week-end. Dans le taxi de Charles, Gabriel lui montre les monuments de la capitale, mais Zazie s’en moque. Ce qu’elle veut, c’est connaître le métro. Hélas, à son grand désappointement, c’est la grève ! Dans l’appartement de Gabriel officie sa tante Albertine, au-dessus du café-restaurant de Turandot (très choqué par le langage très cru de Zazie
À l’aube, Zazie fait une fugue et éclate en sanglots devant la grille fermée de la station de métro. Un vieux-beau, Pedro-Surplus, en profite pour l’amener aux Puces, lui achète un “ blue-jeans ”, lui offre des frites et des moules. En s’enfuyant, elle provoque une course-poursuite, mais est ramenée chez Gabriel qui l’emmène visiter la Tour Eiffel avec Charles.
Au retour, Gabriel est enlevé par un groupe de touristes folles de son corps. Avec la veuve Mouaque, qui s’éprend de Gabriel, et le policier Trouscaillon, avatar de Pedro Surplus, Zazie se lance à sa poursuite dans les embouteillages parisiens. Tout le monde se retrouve bientôt dans la loge de Gabriel, tandis que Zazie commence à tomber de sommeil. Une bagarre monstre se déclenche dans une brasserie. Intervient alors, à la tête de militaires, Aroun Arachide, en fait Trouscaillon. La veuve tombe sous les balles des chemises noires.
Albertine, vêtue d’une tenue de motard, emmène les survivants à la gare par le métro, qui remarche. Mais Zazie dort et ne voit rien. À sa mère qui lui demande ce qu’elle a fait, elle répond : “ J’ai vieilli ! ”.
Distribution
“ Dans mon film, l’univers est en perpétuelle variation et il n’est pas un […] personnage qui ne soit mis en cause ”, confiait Louis Malle à Yvonne Baby (in “ Le Monde ”, 27 octobre 1960). Peut-on en effet encore parler de “ personnages ” ? Devant l’aspect délibérément “ déréalisé ” de l’ensemble du film, la tentation est grande de n’y voir que les pantins des burlesques primitifs ou des automates sans profondeur à la René Clair. Mais il y a une marge de Zazie à Trouscaillon, Turandot ou la veuve Mouaque.
Zazie
C’est le personnage le plus apparemment réaliste et vivant. Il doit beaucoup de ces qualités aux dialogues, directement issus de Queneau, ainsi qu’au choix de la jeune actrice. Soumise aux accélérations comme aux trucages, elle conserve son humanité, la fantaisie du jeu correspondant à son âge. Louis Malle a d’ailleurs rajeuni le personnage de Queneau afin de lui ôter toute ambiguïté sexuelle, qui l’aurait éloignée de son statut de spectatrice. On l’a comparée au héros des “ Lettres personnes ” de Montesquieu. C’est plutôt, en 60, une martienne qui découvre le monde des adultes avec étonnement, amusement, puis désintérêt. Dès qu’elle tente de s’y introduire, elle le détraque : prenant en main le piano lors de la répétition de Gabriel, elle emballe le manège et provoque un incendie. Zazie apparaît alors le visage sévère, au côté d’un ange. Ange exterminateur ? On peut y voir aussi un Perceval à la quête d’un Graal plutôt profane (le métro)… Si le personnage de Zazie conserve une relative unicité, c’est par ses significations multiples et hypothétiques qu’il perd sa consistance. On ne sait rien d’ailleurs rien d’elle, rien ne venant corroborer le récit qu’elle fait à Pedro.
Gabriel
“ Hormosessuel ” ou pas ? Telle n’est pas au fond pas la question dont la réponse importe au spectateur. Exécutant au “ Paradis ” un numéro de danseuse espagnole (que nous ne voyons jamais), il se définit par son métier d’“ artisse ”, tout en théâtralité, depuis le sérieux avec lequel il profère certaines platitudes (“ La vérité !… Comme si quelqu’un au monde savait cexé… ”) jusqu’à l’emphase avec laquelle il déclame du faux Shakespeare au sommet de la tour Eiffel. De Paris, il ne sait montrer à Zazie que les monuments aux noms ronflants, les confondant, incapable de faire le lien entre les mots et les choses. Gardien et guide de Zazie, il la perd, l’égare, s’égare et ne peut la mener au bout du chemin.
Pedro – Trouscaillon – Aroun Arachide
Il est le signe même de la désagrégation du personnage (redoublée par les “ permanents ”) à laquelle se heurte toute explication rationnelle. Recherche d’identité, amnésie, mythomanie, enquête ?… Est-il satyre, le flic en uniforme ou en civil, obsédé, poinçonneur du métro ? Lors d’un bref contrechamp, il est même son propre interlocuteur, en vendeur de blue-jeans face à Pedro.
Albertine
Renforçant l’allusion proustienne en changeant le prénom du personnage de Marceline en Albertine, Louis Malle utilise le hiératisme mystérieux et fascinant de Carla Marlier moins pour son ambiguïté sexuelle (réduite au changement de costume) que pour en faire le véritable guide de Zazie, l’ange tutélaire de Gabriel comme de Charles et Mado, le motard issu du monde de Cocteau (Orphée) conduisant l’héroïne inconsciente après sa traversée de l’enfer parisien.
Générique
Titre original : Zazie dans le métro
Production Napoléon Murat (NEF)
Scénario et dialogues Louis Malle, Jean-Paul Rappeneau, d’après le roman homonyme de Raymond Queneau.
Réalisation Louis Malle
Photo Henri Raichi
Ingénieurs du son André Hervé
Décors Bernard Evein
Conseiller artistique William Klein
Montage Kenout Peltier
Musique Fiorenzo Carpi, André Pontin
Interprétation
Zazie / Catherine Demongeot
Oncle Gabriel / Philippe Noiret
Trouscaillon / Vittorio Caprioli
Albertine / Carla Marlier
Mado / Annie Fratellini
Turandot / Hubert Deschamps
Gridoux / Jacques Dufilho
La veuve Mouaque / Yvonne Clech
Charles / Antoine Roblot
Mme Lalochère / Odette Piquet
Fédor / Nicolas Bataille
M. Coquetti / Marc Doëlnitz
Film Couleurs Eastmancolor (35 mm)
Format 1/1,66
Durée 1 h 22
Visa n° 23 146
Distribution Pyramide
Sortie en France 8 octobre 1960
Autour du film
Un pur exercice de style ?…
Un peu plus de trente-cinq ans après sa réalisation, Zazie dans le métro a conservé sa vitalité, son originalité, sa capacité de déranger, d’irriter ou d’enthousiasmer. Il demeure fascinant en tant qu’inventaire des constituants techniques du langage cinématographique, d’autant que, jusqu’ici, l’évolution du cinéma moderne a moins porté sur le langage lui-même que sur son utilisation. Pourtant, salué à l’époque comme radical et “ révolutionnaire ”, le film n’a pas marqué fortement l’histoire du cinéma, pas même celle de son auteur, qui reste qualifié de “ classique ” par son principal exégète, René Prédal (in “ Louis Malle ”, éd. Édilig, Paris, 1989).
Une des raisons tient sans doute au sentiment de gratuité que certains ressentent à la vision de Zazie. Déjà, en 1960, Malle s’insurgeait contre l’étiquette d’exercice de style accolée à Zazie malgré l’hommage indirect aux “ Exercices de style ” de Raymond Queneau (1947). Il s’appuyait sur la démarche de Queneau : “ Nous nous sommes aperçus peu à peu que désintégrer le langage cinématographique traditionnel n’était pas seulement un exercice de style, confiait-il à Yvonne Baby du “ Monde ”, mais le moyen le plus efficace de décrire, de parodier un monde lui-même désintégré et chaotique ”.
Mais peut-on suivre l’auteur quand il affirme avoir réalisé un film d’un comique “ un peu terroriste ”, parce que “ les gags ne sont pas exploités ”, selon une étrange appréciation de la distanciation brechtienne, avant de faire de Zazie un tueur de western venu nettoyer la ville (?) ou un “ ange qui vient annoncer la destruction de Babylone ” ?
André S. Labarthe proposait, dans les “ Cahiers du cinéma ” (n° 114, spécial Bertold Brecht), une analyse de l’échec, inévitable selon lui, de la tentative de Louis Malle : le texte, les mots, sont le tout du roman, alors que le langage cinématographique, sa technique sont débordés par un résidu réaliste de l’image, qui renvoie nécessairement à autre chose qu’à elle-même, un référent, personne ou objet, qui a dû exister pour impressionner la pellicule. En cela, Labarthe est parfaitement fidèle aux idées d’André Bazin, théoricien et inspirateur des cinéastes de la Nouvelle vague issus des “ Cahiers du cinéma ”, revue qu’il anima de 1951 à sa mort, en 1958 (cf. “ Qu’est-ce que le cinéma ? ”, éd du Cerf, Paris, 1958 et 1975).
On constate en effet un décalage constant entre la mise en crise du langage filmique (qui reste le point fort du film) et un propos social et politique qui paraît surajouté, un peu banal et dépassé (critique de l’automobile, du tourisme de masse…), même si tel détail demeure d’actualité : le bus Cityrama survole “ l’immeuble de la Sécurité Sociale, point culminant de notre civilisation ”. Ou si telle ou telle notation peut paraître outrancière : portrait de Pétain chez Turandot, Aroun Arachide renvoyant à Mussolini, aux miliciens de Darlan ou aux parachutistes de Massu…
Reste une question sans réponse (sinon dans l’absence de postérité du film) : une fois la destruction du langage cinématographique effectuée, que reste-t-il ? Roland Barthes remarquait en 1959, à propos du roman de Queneau (in “ Zazie et la littérature ”, 1959, repris dans “ Essais critiques ”, éd. du Seuil, Paris, 1964), qu’il peut se lire comme un roman traditionnel sans entrer dans l’entreprise langagière de Queneau. Si le film achoppe, c’est moins dans parce qu’il “ pédale dans la choucroute ” (à tous points de vue) dans son dernier tiers que parce qu’il relève plus de l’analyse grammaticale que de l’émotion immédiate.
Joël Magny
Foncièrement déplaisant
“ Il y a quelque chose de plus grave que l’ennui que provoque ou non la vision de Zazie. C’est son aspect foncièrement déplaisant. Il est déplaisant d’avoir fondé le comique d’un film sur le rapport d’une petite fille lucide et d’un monde frelaté. ”
Claude-Marie Trémois,in “ Télérama ”, 13 novembre 1960.
Admirable !
“ C’est un film admirable qui ne fait pas double emploi avec le roman. C’est un équivalent exact du livre, ce n’est pas un pléonasme. C’est une recréation et une récréation… Zazie est un film moderne au sens où l’on parle, par exemple, de la physique moderne… Le temps et l’espace de Zazie sont spécifiques ; ils définissent l’univers de Zazie et rien d’autre.
Zazie est un film expérimental où Malle a essayé diverses formules, s’est livré à des “ expériences pour voir ”, comme aurait dit Claude Bernard. Zazie est un film critique… critique du monde moderne, monde du chaos et de la destruction, monde brisé, déchiré, irrespirable… Critique, Zazie, l’est aussi dans la mesure où c’est une réflexion sur le cinéma. ”
Jean Domarchi, in “ Arts ”, 2 novembre 1960.
Acculé à une contradiction
“ Cette fidélité à la lettre de l’intrigue – car malgré les trahisons nécessaires que nous pourrions relever, il s’agit d’une fidélité à la lettre – ne pouvait pas résoudre le problème de cette critique du langage que Malle affirme avoir été son but essentiel. Zazie est donc aussi un film expérimental. Malle se live à l’exploitation systématique de toutes les ressources que le cinéma en tant que technique mettait à sa disposition. Il joue de tous les trucs du burlesque, de toutes les techniques, de tous les trucages […] Seulement voilà : tous ces trucages, toutes ces techniques, tous ces trucs, qui désintègrent le réel à la façon d’une grenade, ne contreviennent jamais à la loi de réalité qui régit le cinéma. Cela n’est évidemment pas un reproche, mais donne la mesure de l’ambition de l’auteur. Désintégrer le réel, c’est le reconnaître, c’est lui délivrer et lui retirer en même temps son certificat d’existence. Louis Malle se trouvait donc acculé à une contradiction qui tenait à la nature même de l’art du cinéma. ”
André S. Labarthe,in “ Cahiers du cinéma ”, n°114, décembre 1960.
Pistes de travail
Dans la mesure où il est impossible d’échapper à cette question, il est préférable de l’aborder une fois pour toutes en comparant un moment précis du film avec le passage strictement correspondant du roman. Le choix est ouvert, mais on peut utiliser simplement le début du film, dans la gare jusqu’à l’arrivée de Zazie et le départ vers le “ tac ” de Charles. Comment le monologue intérieur de Gabriel devient monologue extérieur. Comment est créé un climat artificiel (son, attitude figée des autres personnages). Comment est respecté, quoique un peu condensé, le dialogue de Queneau ? Comment la phrase “ Doukipidonktan ” change de valeur en passant de l’écrit à l’oral ? Comment sont supprimées les indications du narrateur intraduisibles à l’écran ? Comment Malle introduit une nouvelle ligne de gags (visuels), parallèlement à la lettre du roman ?
Presque toutes les séquences peuvent servir de support à une analyse des transgressions de la grammaire cinématographique traditionnelle. Le début de la première course-poursuite entre Zazie et Pedro est assez instructive, avec, entre autres, multiplication et ubiquité de Zazie, substitution de personnages et d’objets…
Il ne faut pas mettre tous les gags, réussis ou non, ni tous les éléments inhabituels dans le même sac. On peut tenter de relever, dans diverses séquences les éléments qui relèvent de la transgression de l’expression cinématographique (de l’homogénéité de l’espace et du temps, du corps et de l’unité des personnages) et ceux qui s’inscrivent dans une tradition burlesque pure et simple (bagarre de tartes à la crème ou d’assiettes de choucroute).
Même si les élèves ne connaissent pas nécessairement la géographie parisienne, on peut leur faire relever les manquements évidents à un repérage classique : monuments qui changent de nom, voire de place, rue paisible débouchant sur une avenue embouteillée, contiguïté de différents quartiers, imprécision des itinéraires et de la distance entre deux lieux (du temps nécessaire à la franchir). Cette réflexion peut s’accompagner sur une autre, du même type, sur les décors, tous en transformation, sur le fait qu’un décor, tel un train, peut en cacher un autre.
Derrière l’amusement, la critique sociale est sans cesse présente. Il est facile de repérer la critique des embouteillages parisiens (déjà fustigés au XVIIe siècle) et des voyages organisés ultra rapides. Il y a aussi la critique de la foule anonyme, prête à prendre parti pour, puis contre Zazie, à suivre n’importe qui, des Norvégiennes qui traquent et enlèvent Gabriel aux miliciens qui pourchassent Aroun Arachide, en passant par la veuve Mouaque et Trouscaillon qui se lancent avec Zazie à la poursuite de Gabriel…
Expériences
1960 : L’année de tous les dangers
Lorsque sort Zazie dans le métro, en octobre 1960, il y a à peine plus d’un an que le monde cinématographique a été ébranlé par le succès, au Festival de Cannes 59, de deux premiers films Les 400 coups et Hiroshima mon amour. L’année 1960 est dominée à la fois par la confirmation de l’originalité et du talent de la Nouvelle Vague (et de quelques autres) et par une lutte acharnée entre celle-ci, qui connaît ses premiers revers, et les continuateurs d’une “ Tradition de Qualité ”, qui évitent de prendre le spectateur à rebrousse-poil.
Plus que de tradition, il faut parler de conservatisme moral et esthétique chez Christian-Jaque avec Babette s’en va-t-en guerre (Bardot en uniforme), Jean Delannoy avec Le Baron de l’écluse (Gabin en baron), André Hunnebelle avec Le Bossu (Jean Marais) et Le Capitan (idem), André Cayatte avec Le Passage du Rhin, ou Claude Autant-Lara avec le navrant Bois des amants et le grotesque Régates de San-Francisco. Tout autant que Les Vieux de la vieille, de Gilles Grangier, La Française et l’amour, signé Decoin, Delannoy, Boisrond, Verneuil, Christian-Jaque et Le Chanois, est un manifeste de la vieille vague.
Sur le bord opposé, c’est le temps de toutes les audaces et de tous les dangers. Le film de l’année, second manifeste de la Nouvelle Vague, est évidemment À bout de souffle, de Jean-Luc Godard, qui bouleverse à sa manière toutes les règles du langage cinématographique pour inaugurer une réflexion sur l’image qui est loin d’être achevée. Le second film de Truffaut, Tirez sur le pianiste, jugé trop peu personnel, est un échec et ruine les ambitions de Truffaut de financer les films de ses amis (dont Rossellini), comme il l’a fait (avec Chabrol) pour le Paris nous appartient de Rivette, dont le tournage sans cesse interrompu, s’éternise depuis deux ans. Le premier film de Jacques Doniol-Valcroze, fondateur et co-rédacteur en chef des “ Cahiers du cinéma ”, la revue dont est issu le “ noyau dur ” de la Nouvelle Vague, L’Eau à la bouche, qui n’atteint pas la légèreté de ses modèles (théâtre du XVIIIe et le Renoir de La Règle du jeu) reçoit un accueil poli. Pierre Kast réalise son film le plus original, Le Bel âge, mêlant littérature, libertinage et cinéma, mais Natercia ne sort pas à Paris, pas plus que le premier film de Jean-Daniel Pollet, La Ligne de mire. .. Claude Chabrol donne son œuvre la plus radicale de toute sa carrière, Les Bonnes Femmes. Brecht est à la mode. Le numéro des “ Cahiers du cinéma ” où paraît la critique de Zazie dans le métro est d’ailleurs consacré à Brecht (N° 114, décembre 1960). Chabrol réussit là la meilleure (la seule ?) transposition des conceptions brechtiennes au cinéma, par des moyens exclusivement cinématographiques. On l’accuse carrément de fascisme et le succès est plus que relatif. Jean Cocteau réalise, grâce à Truffaut, sa dernière œuvre de cinéma avec Le Testament d’Orphée, atypique comme ses précédents films. Le premier film de Marcel Hanoun, Le Huitième jour, s’inscrit dans la lignée de Resnais et inaugure une œuvre aussi originale que radicale quant à la forme. Les Yeux sans visage, de Georges Franju, renouvelle le fantastique et l’horreur en puisant dans la crudité de l’image (celle du Sang des bêtes) et la tradition du serial des années 10-20.
C’est dans ce contexte cinématographique, mais aussi politique (guerre d’Algérie, censure) et culturel que peut s’envisager la réalisation de Zazie dans le métro. Comme la plupart des films novateurs de cette année 60, de tels projets seraient impensables aujourd’hui et le sont d’ailleurs devenus dès le courant des années 60.
Outils
Bibliographie
Zazie dans le métro, Raymond Queneau, Gallimard, 1959.
Zazie dans le métro de Raymond Queneau, Michel Bigot, Gallimard.
Essais critiques, Roland Barthes, Ed. du Seuil, 1964.
Louis Malle, Henri Chapier, Ed. Seghers, 1964.
Louis Malle par Louis Malle, Jacques Mallecot, Ed. l'Athanor, 1978.
Conversations avec Louis Malle, Philip French, Ed. Denoël, 1993.
Louis Malle, René Prédal, Ed. Edilig, 1989.